Chers parents et/ou amis des enfants, save the date, le 9 février, après les créations dans le hall du musée, la mini-parade circulera sur la rue Cartier. Je ne pourrai moi-même y assister, occupée à préparer l'été au camp, mais j'espère que vous y serez nombreux. Pour ne rien manquer, consultez la page du Off-Carnaval sur facebook.
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Derrière et devant Xochi la duchesse de Montcalm, il y a, Eva-Dali, sa petite fille de 7 ans. Digne de sa génétique parentale, elle aussi, est un personnage avec qui je prends plaisir à m'amuser. J'ai beaucoup d'admiration pour cette fillette qui ne veut pas manger de viande bien que ses parents ne soient pas végétariens. Lorsque c'est possible, j'aime beaucoup l'accompagner au théâtre jeunesse les Gros Becs. Dimanche, elle a accepté de se prêter à mon jeu avec aisance devant la caméra sur la rue Cartier.
Je regarde le résultat et je me dis que j'ai trouvé une partenaire de création audacieuse. Si j'avais les fonds pour réaliser un Conte pour tous, je n'aurais pas de mal à me trouver une distribution... avec Eva-Dali et les petits campeurs-clownesques de Mino.
Concertation de duchesses, la Revengeance approche. Voilà que le confort du Jules et Jim nous inspire une activité inusité... Une soirée pyjama le 1er février. Quoi de mieux pour démontrer que dans Montcalm, on est à l'aise et familier dans le quartier. Il faudra mettre dans le coup les Confiseries Pinoche parce qu'une soirée pyjama sans bonbon c'est incomplet. Maintenant, reste à voir, si le très occupé et dorénavant fameux, Karim Ouellet, sera présent avec son pyjama de renard pour supporter sa duchesse dans son bar de quartier préféré. En tout cas, moi, j'y serai avec ma robe de chambre douillette. Boxers, flanalette ou nuisette, c'est un rendez-vous au Jules le 1er février.
J'ai deux soeurs. 10 années les séparent, je suis au milieu. Elles ont toutes les deux trouvé leur médium de création et j'admire leur talent. Parfois, je me dis que je serais bien dépourvue si Internet "collapsait" et je me demande si, moi aussi, je ne devrais pas exploiter des avenues artistiques plus traditionnelles.
1er janvier 2013, j'entame l'année en pleine action dans le projet du 50e en rencontrant des familles phares du camp au chalet de l'île construit par notre fondateur, Raoul Cloutier. J'accumule du matériel pour mieux tisser des liens entre les propos de tous ces minogamiens et vous offrir des capsules riches en dialogue tout au long de l'année. Ce qui m'anime le plus, c'est de découvrir des histoires qui ont forgé ce que le camp est devenu avec des minogamiens des générations qui me précèdent. Demain, je rencontre Pierre Péloquin, un autre pilier qui en aura long à me raconter. Toutefois, mon rôle de directrice-adjointe me rappelle que l'été 2013 arrive plus vite que l'on pense. La période d'embauche se prépare et parce que je considère les bienfaits d'une expérience de travail au camp, tout ça m'inspire et m'oriente pour la prochaine capsule.
5 jours dans le froid du Manitoba et revoir une vieille amie de Katimavik que je n'ai pas vu depuis à peu près 10 ans et entendre parler du camp chez une ancienne pour qui la flamme minogamienne est encore bien allumée. C'était aussi des explorations aléatoires dans la ville canadienne avec mon amie, Betsy, québécoise aussi membre de la délégation québécoise au 6e Congrès Mondial des jeunes à Rio en juin dernier. Beaucoup de chaleur malgré le froid sibérien. |
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November 2023
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